Si nous étions élus à la Mairie, que ferions-nous ?
Nous aurions appliqué notre programme !
Le commerce local
Voilà ce que nous aurions fait
Nous aurions dynamisé le commerce local face aux commandes par Internet qui bénéficient de la livraison à domicile, en effet nous proposions dans notre programme de développer la livraison des commerces locaux pour leurs clients.
Pour aider les commerces locaux à ne pas être pénalisés par leur fermeture imposée, nous aurions agi immédiatement, et dès le confinement décidé :
Nos mesures :
– nous aurions mis en place un service de livraison accéléré à domicile, en organisant un service centralisé géré par la ville. La quarantaine de livreurs à vélo quasiment en arrêt de travail, Uber Eats, Feel à vélo, l’association d’insertion Optimism auraient été associés à ce service.
La Régie Municipale
de Solidarité que nous avons prévu de mettre en place aurait géré ce
service en y associant des volontaires qui auraient pu ainsi bénéficier du Revenu d’activité Complémentaire
que nous avions prévu d’instaurer.
Les gérants de magasins, pour la plupart non salariés et ne bénéficiant donc pas
des indemnités du chômage partiel auraient pu quelques heures par semaine
empaqueter les achats fait sur leur site Internet pour livraison au domicile de
leurs clients.
La mobilisation des entreprises informatiques locales, d’associations d’insertion comme DEFIS, spécialisées dans l’informatique auraient permis d’aider les commerçants à activer leurs sites Internet en y déposant le maximum de photos légendées de leurs produits. Pour les commerçants n’ayant pas de site, un site spécial collectif aurait pu être ouvert pour leur permettre de faire connaître leurs disponibilités.
Ce système aurait permis d’assurer un minimum de revenus aux commerçants indépendants alors même que les grandes surfaces autorisées à rester ouvertes du fait de leurs rayons d’alimentation vendent aussi des produits destinés à l’équipement des personnes et de l’habitation.
Nous aurions en tant que conseil municipal émis un vœu vis-à-vis du gouvernement pour qu’une taxe soit prélevée sur le chiffre d’affaires supplémentaire réalisé par la grande distribution, dont les grandes surfaces sont restées ouvertes alors que la fermeture a été imposée à leurs petits concurrents, et ce sous forme de solidarité reversée aux petits commerces indépendants.